Influenceurs et partenariats rémunérés
Les partenariats rémunérés sont parfois mal perçus par la communauté des influenceurs. On peut penser que parce qu’il touche un revenu, alors il sera moins honnête. Et pourtant ! Certains de ces influenceurs tentent de briser le tabou autour de cette source de revenu. Et ils en parlent de plus en plus librement.
Il est intéressant de regarder comment le marketing d’influence fonctionne à l’étranger. Aux États-Unis par exemple, les partenariats rémunérés entre Marques & Influenceurs sont très courants. Le public ne manifeste pas de réticence face à ce contenu. C’est d’ailleurs perçu comme quelque chose de positif, comme une réussite pour l’influenceur. En France, les mentalités sont différentes. Il arrive que le partenariat soit vu d’un mauvais oeil. Il est donc nécessaire de lever le voile sur cette pratique de plus en plus courante. Ainsi, ces fameux partenariats rémunérés seront certainement plus compris et acceptés par les communautés des influenceurs.
Je souhaite des renseignements sur les partenariats avec des influenceurs ? Je contacte la team ADB.
Chloé Penderie et son IGTV
Chloé Penderie s’est récemment exprimée sur les partenariats rémunérés sur ses réseaux avec comme titre “Le grand méchant partenariat rémunéré“. La blogueuse nous explique notamment comment elle fonctionne pour travailler avec différentes marques au quotidien.
Elle essaie d’expliquer à sa communauté que son métier de créatrice de contenu est un travail à temps plein. Et que pour ce faire, ça nécessite une rémunération pour pouvoir payer ses factures comme tout le monde à la fin du mois.
Cependant, la blogueuse insiste également sur le fait que ses partenariats rémunérés sont toujours bien signalés comme l’exige la loi. Et qu’elle les choisi en accord avec son univers et sa ligne éditoriale. Elle nous explique recevoir plus de 100 propositions par jour. Elle ne choisit que ce qui l’intéresse vraiment. En d’autres termes, elle s’est instaurée une ligne de conduite pour accepter des partenariats en fonction de ses goûts et non en fonction du prix.
Coralie de Elles en parlent sur son blog
Source: Elles en parlent
Il y a quelques mois, Coralie du blog Elles en parlent a pris le temps de rédiger un long billet de blog pour nous expliquer son métier ainsi que son business model. Son article est très intéressant car riche en informations. Elle nous parle sans détour des différentes sources de revenu qu’elle a, mais également des nombreuses charges qu’elle doit assumer.
Cet article est vraiment pertinent car il met en lumière tout l’investissement de Coralie au quotidien. Nous voyons bien que son métier va au-delà du post Instagram une fois par jour. On se rend également compte que les influenceurs reversent une belle partie de leur revenu en raison des différentes charges (au même titre que tous les autres entrepreneurs). Sa vision de son métier dédiabolise les partenariats rémunérés. Un article à lire d’urgence 🙂
Julie de Banana Pancakes et son article de blog
Julie s’est également exprimée sur le sujet autour d’un article sur son blog. Elle nous explique en quoi consiste le métier d’une influenceuse en prenant exemple sur sa situation. Elle sensibilise son lectorat sur son besoin de revenu comme tout le monde. Elle nous explique également que la création de contenu est un travail à part entière. Et que ce dernier nécessite qu’on y consacre du temps.
Son article est également très intéressant à lire car Julie explique qu’un blog a besoin de revenu pour pouvoir produire du contenu qualitatif au quotidien. Mais que ce revenu est également indispensable pour pouvoir faire des articles plus libres, plus spontanés, non rémunéré tout simplement.
Conclusion
En conclusion, je pense que nous pouvons dire qu’il est important que les influenceurs expliquent clairement à leurs communautés en quoi consiste un partenariat rémunéré. Ainsi, leur lecteurs pourront découvrir que les partenariats restent un choix de la blogueuse, qu’elle y laisse exprimer sa créativité ainsi que son opinion.
Le partenariat rémunéré ne signifie donc pas que l’influenceuse est une “vendue”. Seulement qu’elle est reconnue pour la qualité de son contenu. Et que cette compétence lui permet de partager encore plus de contenu avec sa communauté.